Monument aux morts du 38e et 238e Régiments d'Infanterie (R.I.)

Emplacement 

Maison de l'armée.

A consulter aux Archives municipales 

Ouvrages :

BECKER (Annette), Les monuments aux morts, Mémoire de la Grande Guerre, Paris, 1988, 158 p. (6 C 200 954).

BOUILLON (Jacques), PETZOLD (Michel), Mémoire figée, Mémoire vivante, les monuments aux morts, Charenton-le-Pont, 1999, 160 p. (6 C 200 1298).

GARDES (Gilbert), Le monument public français, l'exemple de Lyon, Paris, 1986, 7 volumes (6 C 100 1112-1118).

LUIRARD (Monique), La France et ses morts, les monuments commémoratifs dans la Loire, Saint-Étienne, 1977, 165 p. (6 C 101 184).

Documents d'archives :

7 C 10 65 L'Espoir (1er juillet 1969-30 septembre 1969).

10 C 24 7 Le 38e Régiment d'Infanterie, in Bulletin des amis du vieux Saint-Étienne, n° 117 p. 16-20, 1980.

12 M 8 Monument aux morts du 38e R.I. et 238e R.I., coupures de presse relatives à l'inauguration. Rapport sur le transfert de la plaque à l'hôtel de ville après la démolition de la caserne Rullière, 1937-1970.

Plan :

2 I 39 PLAN 1 Maquette du monument aux soldats du 238e R.I. de Saint-Étienne, caserne Rullière (1937).

 

 

Repères chronologiques 

20 et 28 novembre 1937 : Inaugurations du monument.

1970 : Démolition de la caserne Rullière pour construire la faculté de Lettres.